jeudi 1 décembre 2011

Dernière section !

Dans cette dernière section, il sera question du courant de pensée de l’école de Palo Alto. Cette école et son mode de pensée ont été nommés ainsi en 1950, parce que l’école en question se situait dans la ville de Palo Alto en Californie. Celle-ci a su se démarquer dans de nombreux domaines de la société avec ses théories et les études apportés. Les domaines qui furent particulièrement développés furent : la psychologie, la psycho-sociologie, la science de l’information et la communication. Le domaine qui nous intéresse dans ce blog est celui sur les communications. Parmi les principaux fondateurs de ce courant de pensée nous retrouvons deux hommes qui se sont particulièrement démarqués dans les domaines de la communication : Bateson et Watzlawick. Tous deux professeurs dans cette institution, ils ont su faire avancer les théories de la communication par leur recherche et leur manière très personnelle de voir les choses. Avant d’élaborer d’avantage sur ces deux auteurs nous allons tout d’abord mettre l’accent sur l’approche de cette école de pensée.


Qu’est-ce que les lumières? C’est principalement quand l’homme commence à penser par lui-même. Avec ce phénomène apparaît l’espace public qui doit absolument être règlementé car sinon l’ordre social serait menacé (création de l’espace public et privé). En effet, Kant explique que l’homme a souvent tendance à se croire libre et pensé par lui-même mais selon lui, il faut connaître ses limites avant de commencer à utiliser cette liberté d’esprit et il faut également la pratiquer. C’est alors le début du débat qui met en scène des personnes plus ou moins spécialisés dans un domaine quelconque et qui se dispute à coup d’opinions (souvent des membres du public). Le leader d’opinion fait alors son apparition dans la société.


Retournant à la base de cette école de pensée, nous constatons que pour débuter leur recherche Bateson et Watzlawick se sont dirigés vers les propriétés même des systèmes soient : « finalité, totalité,́ non sommativité, équifinalité, homéostasie et complexité», développées par Ludwig von Bertalanffy, de même que vers d’autres travaux sur l’interaction. Ils y voyaient une autre sorte de communication dans cette définition. Ils ont su également dépasser le simple domaine de la thérapie ou la théorie. Selon eux, la communication n’est plus « définie comme une simple relation entre deux personnes, mais bien comme un système composé d’interactions circulaires. Un orchestre dont chacun fait partie et où tout le monde joue en suivant une partition invisible et répétitive ». Avec l’utilisation de cette nouvelle vision des systèmes, de nombreux penseurs, chercheurs et théoriciens se sont dissociés de l’ancienne théorie et sont passés à un autre mode de pensée et approche appelé systémique.


L’approche systémique des relations humaines est utilisée principalement dans l’école de Palo Alto de ces années . Cette approche, se divise en six principes. Sans tous les nommer, on peut toutefois dire que leur objectif commun est de capturer différentes sortes d’objets ou de situations pour, par la suite, les étudier au sein même de leur environnement propre. Tous ces principes aident les chercheurs à élaborer leur recherche sur une base plus stable, on remarque que même sans spécifiquement les nommer dans chacune de leurs études, ceux-ci les introduisent subtilement dans leurs thèses.


Au fil des années, l’école de Palo Alto a su créer un axe entre les théories descriptives qui sous-tendent le changement. L’école a su, avant bien d’autres, faire l’analyse de changements a l’aide de l’approche systémique et ce, tout en quantifiant et analysant les changements que l ‘on peut percevoir dans des discussions. Les chercheurs et penseurs de l’école de Palo Alto ont appelé cette méthode : «Méthodologie du changement». Ils ont réussi à mettre de l’avant cette nouvelle méthodologie en modifiant les anciennes théories que d’autres chercheurs et auteurs avaient eux même mises de l’avant au fils des années. Le principal concept qui a été modifié est celui que l’on appelle : « conceptuel ou émotionnel ». Ils ont placé la communication dans un tout autre cadre qu’auparavant, un cadre qui correspond aussi bien aux faits qu’aux sens. Par conséquence, les résultats obtenus peuvent changer complètement et même être totalement différents. Dans ce mode de pensée, l’individu est libre de changer ses comportements par lui-même.


Parlons maintenant un peu plus des deux auteurs mentionnés au tout début de ce blog soit : Bateson et Watzlawick. Gregory Bateson était dans les années 1950, un anthropologue et un ethnologue reconnu. Son épouse et lui ont principalement consacré leurs efforts au sein de l’école de Palo Alto à : « [s’] efforcer d’appliquer les concepts dégagés par les scientifiques à l’observation des processus culturels et de communication interindividuelle. » On peut également dire que Bateson a développé quelques études de cas, et que sa plus connue et plus controversée était celle dite «Des canetons». En résumé, cette étude «des canetons» de Bateson, dont les conclusions parurent en 1964, nous révèle que les poussins ou canetons, s’imprégnaient plus facilement sur des formes qui leur sont familières dans leur environnement et, dans le même ordre d’idée, il a illustré l’importance de l’apprentissage par perception dans l’imprégnation. Pour démontrer tout cela, il s’est « transformé » en mère des poussins et canetons. Il marchait comme une poule et/ou une canne et a même, à un certain moment, essayer d’imiter le langue des animaux en caquetant comme une poule et en imitant le cri des cannes.

Suite à cette étude, Bateson (1990) a suggéré qu’il y avait au moins deux types de changements plastiques dans l’environnement. Sans trop élaborer sur cette découverte, on peut dire que Bateson a su mettre en application plusieurs théories et modes de recherche de l’école de Palo Alto tout en les affirmant. Une des meilleures citations de M. Beteson qui résume très bien sa manière de penser est :

«On définit une chose (à tort) par ce qu’elle est censée «être» au lieu de la définir par ses «relations» avec les autres éléments. » (G. Bateson.)



Tout au long des années qui suivirent l’implantation de l’école de Palo Alto, plusieurs autres spécialistes sont progressivement venus se joindre à Bateson. Parmi ceux-ci nous retrouvons M. Paul Watzlawick, psychologue, psychothérapeute, psychanalyste, et sociologue. Ce dernier devint à l’époque la personne la plus « en vue » de l’école de Palo Alto. Avec ces nombreuses idées et théories avant-gardistes, M. Watzlawick a réussi, avec l’aide de plusieurs autres spécialistes, à implanter l’idée de la thérapie familiale et celle de la thérapie brève dans plusieurs domaines de la psychologie. En ce qui concerne plus spécifiquement la communication, M. Watzlawick a mis de l’avant des idées et théories qui peuvent être aisément exploitées dans le domaine de la recherche de la communication soit, entre autre:

  • Les relations de complémentarité entre les individus.

  • Avoir un certain cadre basé sur l’injonction au sein des relations.

  • Des situations d’insubordination.



Ces trois aspects mis de l’avant par Watzlawick, apportent à la communication organisationnelle une marge d’erreur que nul ne peut réfuter. La communication comme mentionnée plus haut, n’est donc pas un discussion seulement entre deux personnes mais un orchestre avec de nombreuses musiques et de nombreux problèmes.



À tire d’exemple, un monsieur X se construit dans ses relations avec on environnement (social, affectif, humain, matériel etc.). Cette société, pour les auteurs de l’interactionnisme, n’est donc pas conçue comme quelque chose de supérieur à l’individu, mais plutôt comme de plusieurs compositions entre de nombreuses «interindividuelles» (Wikipédia, Interactionnisme). La personne est donc en quelque sorte une construction faite à partir de ses relations avec son environnement. Il est alors assez évident d’affirmer que la place de l’acquis dans le développement d’un enfant par exemple est centrale alors que la place de l’inné est beaucoup moins centrale chez les interactionnistes.


Bien d’autres concepts ont découlé des études de l’école américaine de Palo Alto et un autre de ceux-ci est le « pragmatisme », paradigme de la connaissance. Après toutes ces études et avancés de l’école de Palo Alto sur la communication, plusieurs chercheurs, professeurs et auteurs ont longuement élaboré et écrit sur la communication.

France et Marc

Bibliograhie

Barel, Le paradoxe et le système, Grenoble, Presses de l’université de Grenoble, 1979.

Mucchielli, Alex,Théorie systémique des communications: principes et applications, Paris, Armand Colin, 1999, pp.19-40.

Watzlawick , Le langage du changement, Paris, Le Seuil, 1980.

Le comportement animal: psychobiologie, éthologie et évolution‬ Par David McFarland


Note de cours du Docteur Eliana (Théorie des communications automne 2011)

http://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Watzlawick Consulté en ligne le 24 novembre 2011


Craig T Robert, Interactional view, http://www.colorado.edu/communication/meta-discourses/Theory/watzlawick/ Consulté en ligne le 30 novembre 2011


Watzlawick, P., Beavin, J., and Jackson, D. Pragmatics of Human Communication. New York: Norton, 1967

Auteur inconnu, 1999 http://www.shkaminski.com/Classes/Handouts/Communication%20Models.htm Consulté en ligne le 30 novembre 2011


Auteur inconnu, 2003, http://cscs.umich.edu/~crshalizi/notabene/popper.html Consulté en ligne 24 novembre 2011


Lee, Dick, (1993). Developping Effective Communication http://extension.missouri.edu/p/CM109 Consulté en ligne le 27 novembre 2011


http://en.wikipedia.org/wiki/Interactionism Consulté en ligne le 29 novembre 2011



Van Outrive, L. Interactionisme et NéoMarxisme, http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/ds_0378-7931_1977_num_1_3_951 Consulté en ligne le 1 décembre 2011


Gwemolé, Fortin, 2007 http://commposite.org/index.php/revue/article/viewFile/46/26 Consulté en ligne le 26 novembre 2011-12-01

lundi 31 octobre 2011

Laswell et son modèle de communication !





Encore une fois, parmi les nombreux auteurs que nous avons étudiés dans le cadre de notre cours CMN 3509, nous avons choisi d’élaborer, cette fois, sur les théories faites par Harold Laswell.


Harold Laswell était un chercheur américain qui avait comme objectif de « chercher expressément une méthode susceptible de remplacer l'intuition individuelle dans le domaine de l'analyse des communications. »1. Contemporain dans son approche de la communication, Laswell est « sorti » du modèle linéaire apporté par Shannon et Wearve pour aller dans un optique plus actif. S’inspirant plus particulièrement des sciences humaines et des moyens de communication de masse, Laswell a créé son nouveau modèle dans cette inspiration.



Avant-gardiste dans le domaine de la communication de masse, Laswell a su se détacher de la renaissance et des idées de l’époque. En effet, les idées de l’époque étaient beaucoup plus dirigées vers la reprise de toutes les notions de sociabilité, plus rationnelle et critique. Donc, d’une certaine manière, les recherches de la Renaissance n’étaient pas au cœur de la société. Laswell, comparé aux autres chercheurs, a tenté de décrire le phénomène de la communication de masse, non seulement par des faits réels et concrets, mais en se posant des questions pour encore pousser plus loin les recherches.



La première question qu’il se posa lorsqu’il lu le modèle de Shannon et Weaver qui est :








« À qui ? » se destine le message émit par l’émetteur.


Toujours à cette époque, il y a eu une grande évolution au niveau des médias. En effet, à cette époque, la presse écrite a fait une grande avancée et, au même moment, la langue écrite évolua beaucoup en fonction de la société de l’époque. La population avait dès lors, une plus grande facilité à comprendre ce qui se passait dans le monde. Les messages qui étaient émis à cette époque étaient destinés à une plus grande quantité de personnes, tant une personne de la classe moyenne qu’une autre de la classe supérieure pouvait profiter de la meilleure information qu’il soit.


La seconde question qu’il se posa fut :« Qui dit quoi? ». Cette question est directement liée au message mentionné dans le schéma de Shannon et Weaver. Mais cette fois, Laswell a approfondi le message. Il se demanda ce que pouvait spécifiquement contenir ce message. Pour réussir à bien analyser le message il se créa une méthodologie pour mieux analyser le contenu du message. Dans cette méthodologie il y a mis de l’avant deux sous-aspects : l’aspect quantitatif et l’aspect qualitatif.



La troisième question qu’il se posa fut : « Avec quel effet ? ». Quels vont être ou quels sont les effets du message sur la masse. Encore une fois, à chaque époque, les médiums de communication évoluent et se modifient. Par conséquent, les effets que ces messages vont créer sur la population sont importants.

Dans cette étude de la communication élaborée par Laswell, le chercheur doit dépasser la simple idée de la problématique de communication comme Shannon et Weaver l’on fait, mais il doit également approfondir les raisons de cette communication et leurs effets.


Malheureusement, chaque modèle de communication à ces failles. L’approche faite par Laswell est, selon nous, trop simple. Il a, selon nous, réussi à apporter un nouveau regard avec ses nombreuses questions, mais a oublié quelques aspects importants de la société.



Qui, dit quoi, à qui, avec quels effets par quel canal? Voilà un modèle facile à démontre et qui est applicable dans les situations de tous les jours. Les exemples pour expliquer le modèle de Lasswel sont multiples. Prenons par exemple la saga de Jeff Fillion en 2005 à la radio très populaire CHOI FM de la ville de Québec. L'agent (le qui?) c'est Jean-François Fillion, un morning man très populaire grâce à son style de radio poubelle. Il est important de noté qu'au moment de cette saga, cet animateur avait une popularité et une influence très forte sur les auditeurs. On pourrait presque le qualifier de leader d'opinion ce qui rend l'agent encore plus puissant. Le message (dit quoi?) était tout simplement un message haineux envers une animatrice de télévision nommée Sophie Chiasson. Il avait fait des remarques sexistes et haineuses qui ont été condamnées par un juge. Les propos étaient dirigés à la personne en question et aussi afin de faire augmenter les cotes d'écoute de la station de radio. Le récepteur (À qui?) est alors très large puisqu'il s'agit de la population de Québec auditeur de cette station de radio. Les effets ont été complètement dévastateurs (quels effets?). La personne concernée n'a pas eut le choix de poursuivre pour diffamation et dommage l'animateur radiophonique. Finalement le moyen (canal), c'est l'onde radiophonique c'est à dire la radiodiffusion. Compte tenu de la popularité de cette radio, le canal était possiblement un des meilleurs à sa disposition.




Comme on peut le constater, ce modèle de Laswell est transférable sur tout les messages et les formes de communication observables. Il est impossible de ne pas communiquer alors même quelqu'un qui hausse les épaules en guise de réponse utilise également ce modèle. Prenons un autre exemple un peu plus ancien c'est à dire le régime de terreur de Hitler à l'époque de l'Allemagne Nazi. L'émetteur est Hitler et son mouvement qui avait même engager les meilleurs spécialistes afin de diffuser son messages efficacement. Son message était également haineux et expliquait les raisons pourquoi la race juive devait être éliminer. Le public cible était le peuple allemand pas encore converti au nazisme. Les effets sont partout dans les livres d'histoire. Il a réussit à réunir plusieurs personnes à ses côtés pour éliminer des millions de personnes innocentes. Il existe plusieurs moyens, le discours classique (Hitler était un très grand orateur), la publicité papier, les affiches, le journal, la radio, les films allemands, la radio etc. Encore une fois, voilà un autre situation, un peu plus vieille cette fois qui illustre à merveille la système de communication de Laswell.




Nous avons vu en classe différentes autre situations qui sont aussi applicables à ce modèle. L'expérience avec le petit Albert de John Watson ainsi que l'expérience de Milgram avec le jeu de la mort qui a été reprise en France il y a quelques années.




En somme, le modèle est partout tout comme la communication. Ce modèle est toujours actuel et fonctionne encore très bien s'il est bien utilisé, mais comme nous l'avons précisé un peu plus haut, il y a malheureusement quelques failles.




Par France St-Laurent et Marc Pelletier




Les références sont disponibles dans un commentaires (à cet article) ci-dessous. Simplement cliquez sur 1 commentaires.

jeudi 29 septembre 2011

Popper et la communication !




Depuis le début de la session, le cours CMN 3509 nous a appris les premiers fondements de ce que sont les théories de la communication.


Nous avons débuté en étudiant le rationalisme critique. Nous avons abordé, les différentes idées de Karl Popper ( 1902-1994) l’un des premiers philosophes à s’être soucié de la compréhension de : ce qu’était la science et ce qui était la pseudo-science de l’époque. Pour mieux le comprendre, nous avons été à même de constater que Karl Popper a commencé à faire des critiques des nombreuses théories qui prévalaient à l’époque sur ce qu’était la science. La différence entre la science et la métaphysique dans ces années-là n’était pas très spécifiée. Don , pour affirmer ses hypothèses, il a dû utiliser les différents critères que les chercheurs utilisaient à l’époque pour qualifier ce qu’était la science, pour par la suite « réfuter » le tout. Il instaura différents critères de démarcation de ces deux différentes familles.

Ce fut, en effet, Karl Popper qui avança la notion de « réfutabilité » dans ces premières années. La principale réfutation que celui-ci a faite était le fait que les autres mathématiciens ou philosophes n’incluaient pas la notion de progrès dans leur recherche, donc pour remédier à cela il l’inclut lui-même dans ses critères de démarcation de la science. La science est un modèle très complexe, elle englobe une grande partie d’aspect d’une vie.


En plus de la réfutation, Popper a utilisé le savoir d'autres philosophes plus anciens que lui pour créer sa démarcation de la science. Lorsqu’on mentionne la théorie de la vérité manifeste, nous sommes dans l’obligation de penser à Aristote. Philosophe qui apporta comme ligne de pensée :


« Dire de l'Être qu'il n'est pas, ou du Non-Etre qu'il est, c'est le faux ; dire de l'Être qu'il est, et du Non-Etre qu'il n'est pas, c'est le vrai ; de sorte que celui qui dit d'un être qu'il est où qu'il n'est pas dira ce qui est vrai ou ce qui est faux ; mais dire qu'il y a un intermédiaire entre des contradictoires, ce n'est dire ni de l'Être, ni du Non-Etre qu'il est où qu'il n'est pas » ARISTOTE, Métaphysique, 1011 b, trad. J. Tricot, Librairie Vrin



Aristote fut l’un des précurseurs dans la distinction de la science, déjà à son époque il se posait de nombreuses questions sur l’homme et sa « substance » et sur la « métaphysique ». La métaphysique qui était la « science de l’être en tant qu’être ». Déjà à cette époque Aristote réussit à voir l’homme comme étant un penseur et une « substance » que l’on pouvait connaître. C’est d’une part grâce à Aristote que nous pouvons en ce moment nous qualifier de quelques choses de substantielles.

D’après nous, Karl Popper et Aristote avaient la même ligne de pensée. Ayant vécus dans différentes époques, il est très difficile de les comparer, mais tous deux avaient la pensée de la science. Ce qui est intéressant à voir dans la pensée de Karl Popper est la facilité avec laquelle il a réussi à intégrer les anciennes théories dans son idée rationalisme critique. Il n’avait pas seulement Aristote comme source d’inspiration, mais également Pic de la Mirandole avec la dignité de l’homme, les capacités de jugement et d’action qu’il pouvait avoir en lui-même.

Kant et Hume furent aussi sources d’inspiration pour Popper. Toutefois, le paradigme qui nous à le plus attiré est celui de Popper et Aristote, nous n’allons donc pas élaborer sur ces trois autres philosophes.


Le meilleur exemple pour comprendre la théorie de Popper est le film l’Agora de Alejando Amenabar. Dans ce film, les hommes commencent à comprendre vraiment ce qu’étaient la vérité et la science. Malgré une forte présence du christianisme, quelques étudiants se font instruire sur les différents principes d’Aristote, Platon et bien d’autres. Si l’on revient un peu au moment présent avec cette fois-ci Popper, on peut dire que c’est une part grâce à lui que nous pouvons étudier dans la communication. En effet, on peut dire que ses recherches sur les différentes sortent de science ont aidé le monde a reconnaitre la Communication. Il est évident que ce n’est pas lui qui a créer la communication, mais il a été un de celles et ceux qui ont découvert différentes fondements scientifiques de la Communication. Les chercheurs qui lui ont succédé ont utilisé ses différentes théories pour créer différentes branches de la science dont la science sociale.


Références:

Notes de cours de Docteur Eliana (Théories des communication Automne 2011)

http://en.wikipedia.org/wiki/Karl_Popper Consulté en ligne le 23 septembre 2011

Auteur inconnu, 2003, http://cscs.umich.edu/~crshalizi/notabene/popper.html Consulté en ligne 24 septembre 2011

Vidéo, Karl Popper over relativisme en dogmatisme,http://www.youtube.com/watch?v=Ym9saQnwd1A, Visionné en ligne sur Youtube le 23 septembre 2011

Dacheux Eric, La communication : éléments de synthèse. Communication et langages. N°141, 3ème trimestre 2004. pp. 61-70.

Plusieurs auteur(e)s, http://fr.wikipedia.org/wiki/Métaphysique_(Aristote), consulté en ligne le 26 septembre 2011

BOUVERESSE R., Karl Popper ou le Rationalisme Critique, (1978), Paris, Vrin, 2005

POPPER K., La Logique de la découverte scientifique, (1934), trad. par Thyssen-Rutten N.,

BOYER A., Introduction à la lecture de Karl Popper, Paris, ENS, 1994

Blog, Auteur inconnu, http://www.experiment-resources.com/falsifiability.html, consulté en ligne le 27 septembre 2011